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 définition du sionisme

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Rejwa
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MessageSujet: définition du sionisme   définition du sionisme EmptyVen 10 Avr - 19:44

définition du sionisme 396612 définition du sionisme 128523

1. Définitions (tirées du Petit Larousse Illustré)

Sioniste : Qui relève du sionisme ; qui en est partisan
Sionisme : (deSionmontagne à Jérusalem). Mouvement dont l'objectif fut la constitution en Palestine d'un Etat juif


2. La naissance du sionisme (Extraits du site “solidarité Palestine”,l'histoire de la Palestine en quelques dates clés)

En 1896, Theodor Herzl, écrivain juif hongrois (1860-1904) publie L'État juif, Essai d'une solution moderne de la question juive.
Correspondant du plus important quotidien viennois à Paris, il assista à la vague d'antisémitisme suscitée par le procès du capitaine Dreyfus;
cette expérience le persuada de l'impossibilité d'une réelle assimilation des Juifs.
Préconisant un État juif, il hésite entre la Palestinien et l'Argentine.
Si le second pays, qui possède des kilomètres de terrains en friche, lui apparaît plus intéressant parce que les terres y sont plus riches, la Palestine l'emporte cependant dans son esprit, comme plus chargée de souvenirs historiques.
S'il n'était pas le premier à affirmer l'existence d'une nation juive et la nécessité pour celle-ci de retrouver une patrie, Herzl fut le fondateur du sionisme, dont il réunit le premier congrès à Bâle en août 1897, qui se donna pour but «la création en Palestine d'un foyer pour le peuple juif, garanti par la loi publique».
Ce congrès constitua l'Organisation sioniste mondiale, qu'il présida jusqu'à sa mort.
Résultat de la relation réciproque entre l'affirmation du particularisme ethnique, national, culturel et religieux du judaïsme et de l'antisémitisme, le sionisme devenait une volonté de conquérir une identité politique et territoriale, la réaffirmation des «droits éternels» des Juifs sur la Palestine après vingt siècles d'exil.


3.Le sionisme, un mouvement antireligieux (www.france-palestine.org « Sionisme et Religion »)

À ses origines, le sionisme se veut être une alternative à la religion.
Ce mouvement se développe comme une autre façon d'être juif et de traiter l'existence juive formellement, publiquement et consciemment en opposition avec les conceptions religieuses.
Le monde religieux, quant à lui, réagit au sionisme d'une façon symétrique :
il voit dans ce mouvement un ennemi mortel.
Au tournant du vingtième siècle, quand le sionisme commence à prendre forme, il n'y a quasiment pas de sionisme religieux :
le sionisme est contre la religion et la religion est contre le sionisme, point.
(...)
Comparé aux courants socialistes, le sionisme est un courant ultra, ultra-minoritaire qui pose la question de l'antisémitisme et de l'émancipation juive hors du cadre du socialisme et dans un cadre colonial, et qui part d'une hypothèse opposée à celle du mouvement socialiste, à savoir l'émancipation juive demande sa séparation des nations.


4.Le Mizrahi, un courant sioniste-religieux( « Sionisme et Religion »)

Dans cette lutte entre sionisme et religion, il y a cependant une exception, qui essaie de faire une synthèse entre ces deux philosophies ;
cette exception, qui est une marginalité dans la marginalité que représente le sionisme, c'est le mouvement Mizrahi.
Le mouvement Mizrahi est un mouvement religieux qui ne voit pas de contradiction entre la foi qui l'anime et le sionisme, un mouvement religieux moderniste qui se joint à cette conception de la modernité qui reprend les valeurs de la révolution bourgeoise dans le contexte des pays d'Europe centrale et d'Europe de l'Est.
Non seulement il rejette l'existence d'une contradiction entre sionisme et religion, mais rapidement il en fait une synthèse dont on verra chez le rabbin Abraham Isaac Hacohen Kook, le premier grand rabbin ashkénaze d'Israël dans les années trente, la première systématisation, en faisant du sionisme un élément de la théologie juive.
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